🫦 𝔏𝔢 𝔖𝔢𝔵𝔢 𝔖𝔢𝔩𝔬𝔫 𝔈𝔪𝔦𝔞𝔰 🫦
La sexualité tient une place extrêmement importante dans l’univers que j’ai créé. Le sexe à Emias peut être à la fois synonyme de plaisir, de punition, de souffrance, de liberté, de domination et même de vengeance.
Les hommes de la Vallée des Rois qui sont les maîtres absolus de la cité-Etat d’Emias et qui n’ont quasiment aucun compte à rendre à personne, ont généralement des relations sexuelles bestiale dites ‘’ 𝔟𝔬𝔯𝔡𝔢𝔯𝔩𝔦𝔫𝔢‘’. Le BDSM est très monnaie courante dans les chambres des personnes faisant partie de l’Elite ! La pratique la plus précisée est celle du Dominant – Soumise. On se demande pourquoi ?!
Si la plupart des hommes arrivent à rester correct avec leur moitié durant le sexe et à leur donner du plaisir, certains vont si loin dans la folie que les pauvres malheureuse qui partagent leur couche doivent vivre avec des traumatismes physiques et mentales jusqu’à la fin de leurs jours.
Les sévices les plus graves ont lieu au sein de la famille royale elle-même.
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'' - Tu es un psychopathe, murmura-t-elle.
- Toi une putain.
En entendant cela, la beauté éclata de rire et repoussa ses
draps, dévoilant son corps nu. Il déglutit devant son physique parfait,
ses mamelons foncés, son ventre plat, son pubis épilé de près.
Lentement, comme au ralenti, elle replia les jambes et les écarta
largement, lui exposant le cœur de son intimité. Son clitoris
congestionné s’était déjà élargi et allongé. Le tentant. Le
provoquant. Devant cette scène impudique, le phallus de son mari
se dressa et pulsa dans son pyjama.
- Qu’est-ce que tu attends pour me baiser dans ce cas ?
demanda le saphir, lascive. Généralement, on baise les putains.
Hippolyte, comme un enragé, se dévêtit précipitamment et se
rua sur elle. La mine sombre, il écarta ses grandes lèvres à l’aide de
ses doigts avant de prendre son organe charnu dans sa bouche et y
exerça une petite pression. Bethsabée se contracta en soupirant de
plaisir, son mari suça son clitoris pendant un court moment avant de
le repousser de la langue. Frustrée, la brune souleva son bassin,
réclamant son attention avec avidité. Furieux, il eut envie de mordre
cette salope infidèle jusqu’au sang. Envie de la faire souffrir. Est-ce
que lui aussi te baise avec sa bouche de la sorte ? Sa femme,
pantelante, releva encore plus ses fesses en implorant :
- Hippolyte… Je t’en prie… Elle agita sous son nez son sexe trempé qui luisait de manière indécente. Appétissant. Vaincu, malgré sa colère, il souffla plusieurs fois sur son bourgeon, le durcissant davantage. Elle frémit en s’avouant qu’il avait toujours été doué en matière d’amour. Il commença par effleurer l’intégralité de son clitoris du bout de la langue, puis tapota son gland avec une intensité maîtrisée. Lorsqu’il la sentit se contracter encore plus, il entreprit de lécher ses racines ainsi que ses vestibules, vorace. La cyprine de sa femme, à présent, se déversait abondamment sur son menton. La bouche ouverte, il se hâta vers son orifice vaginal pour recueillir ses fluides qu’il lapa avec gourmandise. Sa senteur et son goût le rendaient fou. Il profita de sa position pour la pénétrer de sa langue. Le saphir, les yeux fermés, écarta plus ses jambes, jouant des hanches en suivant son rythme saccadé. Son roi ne s’occupait pas d’elle de cette manière. Lui, il préférait la dominer. L’humilier… Avec Hippolyte, c’était tout le contraire. C’était elle qui dirigeait. Bethsabée préférait se soumettre, mais elle était tout de même fière du pouvoir qu’elle avait sur son époux. Sans crier gare, elle tira sur ses cheveux blond beige et le remonta vers son clitoris.
- Bouffe-moi ! ''
Il s’exécuta. D’abord, il fit de petits cercles en forme de huit rapides sur son capuchon qui palpitait sous ses soins.
- C’est tellement bon… Même lui ne me lèche pas aussi bien…
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‘’ Elle le détestait. Le haïssait plus que tout. Il la faisait littéralement
gerber. Elle souhaitait sa mort ainsi que celle de toute son
engeance. Dans d’atroces souffrances si possible. Par sa faute, elle
ne serait plus jamais la même. Mais malgré cela, elle se délectait de
ses caresses et de ses baisers. Pire encore, elle les lui rendait sans
restrictions. Elle se dégoûtait, mais c’était plus fort qu’elle. Caleb lui
avait fait perdre raison et toutes limites… Là maintenant, avec lui,
elle avait besoin de sexe sale, animal, violent et trash… Jamais
avant, elle n’avait eu ce genre d’envie. Sans crier gare, il la gifla.
Voyant que cela eut pour effet de l’exciter plus, il sut qu’il pouvait
encore aller plus loin, plongeant son regard dans le sien, la main
serrant son cou, il lui cracha dessus… en plein visage. Les lèvres
entrouvertes, sa salive s’infiltra dans sa bouche. Elle aurait pu être
offusquée, blessée, mais ce fut tout l’inverse. Son excitation monta
en flèche ! Elle se redressa sur son séant, le saisit par la nuque et
l’embrassa avec fureur, emmêlant leur fluide, et enroula sa langue
dans la sienne dans une danse endiablée.
- Tu es une sacrée cochonne, toi…
Il avait certainement raison, sinon comment expliquer les réactions de son corps ? Après tout, cette verge qui s’introduisait avec fureur dans son vagin rouge et boursoufflé était celle qui l’avait déchirée, martelée devant toute une assemblée de malades, ces mains qui s’attardaient sur sa poitrine, son ventre et ses fesses étaient celles qui l’avaient fouettées… Non, elle n’était pas normale. Elle était détraquée. Brusquement, il se retira d’elle et la plaça à quatre pattes, ses yeux se posèrent alors sur l’horloge… minuit pile. Achille. Il était sûrement en train de partir. Honteuse, elle eut le sentiment de le tromper. De le trahir. Mais cette pensée fut chassée de son esprit par le membre de Caleb qui venait de l’assaillir d’un coup sec de toute sa longueur. - Oh, putain de merde… gémit-elle, les yeux à demi-fermés, en courbant son dos au maximum pour encore mieux l’accueillir en elle, lui offrant par la même occasion une vue quasi parfaite de sa croupe et de son anus. Son mari sourit en hâtant la cadence, il avait affaire à une vraie petite coquine.
- T’aime ça, hein, salope ! gronda-t-il en lui claquant sa fesse
encore parsemée de rayures rouges. T’aime te faire défoncer, hein ?
Le choc lui fit mordre sa lippe, mais elle acquiesça gentiment.
- Oui… oui… admit-elle d’une petite voix. Je t’en prie, ne t’arrête
surtout pas…
MB.
Les Maîtres d'Emias